Amour tu es - sans obscénité

Il y a des jours avec et des jours sans, lendemain.

 

Qu'écrire alors, une drague ou éloge funèbre ?

 

Il y a cent milles manières de faire, de dire, de choisir son chemin et une seule on exécute, celle qui nous ressemble, celle qui nous inspire, celle qui nous guide.

 

Une direction, une considération, une capacité, d'aller au suivis des pas, n'est pas qu'un espoir c'est une avancée.

 

S'avancer à désirer se conduire à son fantasme, ne fait pas le bien être, c'est une remise en question.

 

Que remettons en question quand tu t'avances à désirer nous conduire à notre fantasme ?

 

Le pouvoir de l'image, le don de contemplation, l’idolâtrie, sont des futilités qui font toutes valeurs d'existences.

 

Et le fantasme est celui que l'on ne veut pas trouver dans le regard des gens non consentants.

 

L'amour est concept de sexualité, c'est le sentiment qui dérange.

 

Aux définitions l'exhibition malmène à une perdition d'être, elle isole au milieu de tous et quand un lion met à mort le buffle autour cents têtes du troupeau ne bronchent pas pour le leur.

 

L'amour c'est le sentiment qui démange et malheur parfois certains le prennent pour une faim, pour un instinct de prédation, pour une obligation à assouvir, pour une vengeance, pour une colère, pour une rébellion.

 

C'est le charme désuet des complexes d'humanité qui affole à la complainte des pertes d'intérêts à la vie, quand l'amour est mort, fini.

 

 

( inspiré par " une camgirl )

 

 

 

 



13/09/2015

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