Unis à la vie, à la mort ...

Unis à la vie, à la mort ...

 

perds tu elle ?

 

 

Je suis un amoureux.

Je suis une amoureux de la vie.

Je suis un amoureux des femmes.

J'aime à n'en aimer qu'une.


Mais j'aime toutes comme elles le souhaitent.

J'aime la vie.


Je l'aime elle, je l'aime lui qui est moi.

Je t'aime toi.


Si je n'aime qu'elle,

Je me sens moi.


J'aime la vie.

J'aime la liberté qui nous sourit.



quand j'y pense, c'est tellement immense.

Et si petit à la fois.


Je m'y perd, sans savoir si j'en ais le droit.


Etre libre et pas à toi.


Etre libre et à la vie, c'est que je crois.


Etre avec toi, si tu es ma vie.


Ce sont des pensées de tous jours.

De vieilles et insaisissables fleurs qui jamais ne se fanent.

Des pensées éternelles impérissables.


Ici comme pour tous jours.

Chaque matins rêves et cauchemars comme des chagrins,


vous éloignent du savoir.

Pour vous un rêve n'est pas mémoire.


Il faut plus que le croire.

Il faut plus que le voir.


Si ce n'est que de comprendre,

On ne peut plus m'aider à apprendre.

Car les mots sont sobres.


Les idées dans leurs robes

M'enrobent de vos charmes.

La gentillesse comme un défaut.

On nous dit que cela est faux.

Et on se force à se combattre.

Même l'arbre le plus massif peut s'abattre.


De paix à guerre.

De lueur à lumière.

Comme trait dans l'Univers.


Je voeux.


Pour moi

Pour toi

Pour lui

Pour elle

Pour vous

Pour nous

Pour eux


Je veux dire


Je veux bien plus qu'écrire


Je veux conter.


Raconter et narrer.

Nombres d'histoires.

Nombres de temps d'espaces.


Peur,

Perdants et vainqueurs.


Mais gagner quoi ?


Comment tendre la main,

Alors que c'est de savoir qu'il est question.


Qu'est-ce qui arrive ?

Qu'est-ce qui va ce passer ?

Quand ?

Comment ?


Plus qu'un homme un montagne.

Plus que le bonheur, le drame.



Le monde à ses problèmes.

Le monde pense, le monde espère.

Le monde attend.


Car il vit.

Il a peur de la mort.

Il a peur de souffrir.


Il prend le temps de savoir.


Mais le monde souffre.

Alors certains le mènent au pas de course.


Mais la terre ne tournera pas plus vite.




On ne sait de qui l'on parle.

Et s'en fout !


Et on délire !


Un des plus grand plaisir de vie n'est-il pas de rire ?


Il faut se le dire.


Le savoir pour nos mémoire.

Savoir construire,

La vie

et l'avenir.


quelqu'un à pied ne peux prendre qu'un sac


Mais dans ce sac il peut tout y mettre.


Dans ce sac, il y a ces souvenirs.

Son passé son présent et son avenir.


Comme dans un rêve.

Mais si proche de la réalité.

Dans sa poche,

dans le creux de sa main

Il y a l'heure.


Une vielle horloge,

nous dit c'est rouge à trois quarts d'heures.


Mais le temps se moque de nous.


Si il ne nous méprend,

Il nous rend fou.

Alors on s'en fout !

Et l'on vit !


Mais quand la cloche sonne,

Qu'il est l'heure de ce réveiller.

Que sait - on ?


Chaque pas, mène

Chaque pas sert à avancer.


Qu'importe l'heure,

Il fait nuit lorsque le soleil va se coucher.



Dans son sac il y a le monde.

Et son sourire peut le rendre immonde.


De rêves à souvenirs,

Des cauchemars aux jouissances,


Une vie se démarque de l'autre

Lorsqu'elle suit son propre chemin

Un destin écrit

Décrit par le temps

Unique de sa présence

Par son histoire,

incroyable

Comme une démence.




De rien à tout,

De tout à rien

De l'éternité au lendemain

Des histoires de mémoire l'on s'en souvient

Des histoire que l'on croit auxquelles on tient.


Du rire aux larmes

Du bonheur au destin



Charme

De l'infini

Charme

De l'éternel



Quête

pardon

semblable

passion


jusqu'à la déraison

Poussé au déraisonnable.



Admirable

Inqualifiable

Impardonnablement triste.


Querelles perpétuelles des mensonges,

cherchent leurs vérités.


Mais pourquoi leurs sont-elles cachés ?

 

 



19/03/2015

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