La vie en soi n'est pas une patience à avoir, c'est une raison d'être.

C'est cette raison d'être qui est en question pertinente en nous même, de vouloir savoir.
Savoir ce qu'est la vie, savoir ce qu'est le bonheur, savoir oublier ses malheurs pour mieux les combattre de sa raison d'être.

Entre anges et démons, de toutes croyances l'on retrouve la vie apeurée par le bien en le mal qui charme par désuétude et humilité.

Du savoir il résulte de charnelles et suaves saveurs âcres émanées des moments de pertes de consciences qui égarent lors de la vie.

Que peut on savoir de plus, de la fin de la vie ?

Rien, si l'on respire de notre être par savoir vivre.

Savoir vivre, ne se résume pas à savoir mourir et savoir vivre est d'un courage, celui de savoir oublier ses malheurs et d'en tirer leçon des erreurs.

La leçon des erreurs, est constituée du savoir de chercher le bonheur ; la leçon des erreurs de la vie, c'est une touche d'égoïsme à ne pas prendre, pour le respect des autres.

Est ce de la vie que l'on ressent parfois au chagrin la peur, ou des leçons des erreurs ? Cela dépend de notre courage à affronter la vie jusqu'à la mort.

Mais affronter " la raison d'être, n'est ce pas une erreur quand il s'agit de la vie ?
Certains reviennent de la mort en la vie, par la causalité d'une erreur, celle d'affronter la raison d'être qui résulte du schéma de vie.

C'est le schéma de vie qui censé porter leçons, mène erreurs en comparaisons aux bonheurs possibles et s'enlise dans le charme des anges chez les démons.

Sans patience, il sommeille, dort et oublie de se réveiller de ses cauchemars ; c'est un humain.