Impros Slam

Je me sens trop grand souvent,
et autant ça met le vertige, 
autant je suis plus haut que géant. 
Je suis comme un rat des champs,
le chat mange le rat et l'histoire n'en finit pas. 
Le charme se promène, il émerveille. 
Mais c'es la mort qui le surveille. 
Comme cent kilos de miel d'abeille. 
T'en ferais quoi ? 
A par cent litres d'hydromel ? 
Il faut de bonne épices une recette propice et de la passion, 
amour, espoir et compassion. 
On se sent comme passant, impatient avide du temps mais irresponsable. 
D'une image faire une fable et se mettre à table. 
Qu'est-ce que l'on y comprend ? Rien. 
A par ce que l'on pense certain. 
Acquis sans attendre, malhabile, méprendre. 
La réalité la comprendre et surprendre. 
Sans vice, par don de soi-même. 
Punitive transition est le sans pardon. 
Qui suis-je quand je pense : " Nous comprenons ". 
Ce que l'on pense, c'est que c'est une abération. 
Contrainte impardonnable, comprendre le message des grains de sables.
Et suivre la mer, voler comme nager et en être fier. 
Mais le poisson se fait arracher les ailes, de la vie il n'est plus le serviteur mais l'infidèle. 
Il suit sans attendre le court et prétend au malheur des siens. 
Si il ne demande il ne comprends rien à rien. 
D' "Avatar" à " Coups de bâtards", non merci sans façon. 
Je ne crois pas à ce genre de relations, 
reste septiques sur les transitions 
qui sans le maitre établis par les traitres de la vie 
ne donneront que de la chair à poissons. 
Passer pour des cons, c'est un handicap, un affront. 
T'es à fond ! 
Et tu mijotes comme ratatouille états entier qui s'emmerdouille.
De la protection au suicide. De la cupidité au malaise. 
Comprendre sans se méprendre, 
ne penser qu'à tuer et être fier de vouloir vire 
alors que sans respect ils volent. 
Au dessus des peuples qu'ils affament et affolent. 
Qui doit demander pardon ? 

C'est le peuple et les simples gens qui ont raisons !!! 













26/06/2015

A découvrir aussi