A muse

 

 

Je meurt, sans paroles, tout me tue déjà, je meurs, mais je ne suis pas que victime,

mon bourreau me met dans mes mains son crime.

Ca sent peut-être la rime, mais ce n'est pas pour une autre raison que celle que je trime.

Enragé par la tyrannie, tout m'affaiblit,

je ne veux être que juste, mais ici, la vie est une insulte.

Je me bat, mais ne fait que me détruire dans ma lutte.

La chose est basse, elle terrorise, elle est constamment une menace.

Je veux changer d'espace ne plus laisser de traces ,

que je ne retrouve pas en moi cette horreur qui me dépasse.

Je me lasse, je ne trouve pas ma place.

Perdu au milieu de ces bâtards qui ne les voit que comme des pétasses.

Les mots vous choques, mais moi c'est que ces derniers se prélassent,

je vous le dit on se retrouve dans une impasse, comme dirait l'autre

« c'est la monotonie du monde qui nous lasse »

Mais qui me dit ce qu'il faut que je fasse.

Car ce n'est pas à moi à qui la fatalité s'impose,

mais je la subit et c'est pour cela que j'ose,

cette mécanique prose improvisation avec convictions et équimose,

comment cicatriser quand ça à la couleur du mauve ?

Je ne veux pas parler, je ne veux pas vous dévoiler,

ce n'est pas de moi dont c'est le sujet,

c'est le cauchemar infligé par un obsédé.

ça ne ce fait pas, mais je me dit que parfois j'aimerais le tuer.

Comment savoir calmer cette sensibilité

pour ne plus ressentir ce mal qui détruit et pousse à ne plus espérer.

Ce n'est pas moi, c'est sûrement pour ça que je peux encore moins laisser couler.

Je suis désolé, je ne peux que m'escuser,

pour ceux qui devraient bien plus que moi souffrir et payer.

Je veux être honnête, j'suis pas violent, j'aime pas frapper,

mais y en à qui vraiment le mériteraient,

personne n'en a envie, si le fallait je le ferais à me faire enfermer.

J'suis abrutit par la vie, je connais la haine et compagnie,

j'ai la rage, car jamais cela ne ce finit.

Je suis affaiblit, ce n'est pas ma faute, mais c'est moi qui suis punis.

Détruit, désuni, c'est injuste, ce n'est pas celui qui devrait qui subit.

Je m'en veux, la joie me fuit, à l'intérieur il ne reste que inconscience et folie.

L'amour rend fort, mais seul il détruit, je cherche la raison et tout me fuis,

c'est comme si le bonheur tombait dans un puits

Ce puits aurait forme de poubelle dans laquelle on tape

lorsque tout prend forme de querelles.

Malgré tout ça la vie est belle, elle ne s'enfuit pas à tire d'aile.

C'est pour cela que je pris,

que je crois aux lumières qui peuvent guider nos vies,

car dans ce brouillard parfois on se perd, on se terrifie,

personne ne sait plus ce que l'on fait, comment on agit.

Qu'est-ce qui est vraiment bien ou mal,

Qu'est-ce qui vraiment doit être punis�

 

 

 

 

 

Elle s'est mise là, sur mon chemin, je ne savais pas pourquoi.

Elle s'est mise là, dans mon destin, je ne lui demandais pas pourquoi.

Pourquoi à sa propre place, elle ne s'y voit pas,

pourquoi dans cet épais brouillard, les yeux ouvert elle ne s'y retrouve pas.

Même si elle ne l'admet pas, je lui dit que je sais au fond de moi.

Elle qui me fuit parfois, qui me rend heureux, mais à qui des fois, je ne souris pas.

Je ne veux que m'escuser pour cela et lui dire que je l'aime qu'elle me pardonne ou pas.

Car la chose qui fait en moi le plus querelles, c'est qu'elle s'enfuit à tire d'ailes.

Mais la vie est belle, comme elle le peut ,elle enchaîne les jours et nous montre ce qu'est l'amour.

Mourir pour elle, brûler pour elle, est-ce que je parle d'elle, où de la paix universelle ?

En tout cas je t'aime, toi qui dans ma vie, m'aime.

Tu es muse dans mon âme, muse dans mon esprit, muse dans mon c�ur,

Tu m'escuse si je te dis que parfois que tu m'uses ?

Souris, normalement, ce passage amuse.

Car je t'aime si je ne m'abuse.

 

 

 

 

Tu abuses, tu te la joue car tu es ma muse

Tu m'amuse et c'est seul que je m'abuse�

 

 

 

 

Seule, un couloir sombre qui s'éclaire par accoups

Elle est amochée, par flash, l'on peut en voir les coups

Sa peine nous tort à l'intérieur, tellement le désordre est laideur

Qui est-elle ? Simplement la mort.

Elle est belle, mais sophistiquée, on n'en voit pas le fond

Car par pudeur, sous la souffrance elle s'est cachée.

Elle prend la forme de vices que l'on ne peut substituer,

D'amours incensés qui nous rend comme possédé,

Ou simplement d'idées, laissées de cotés ou oubliées.

L'esprit endormis ou alcoolisé, il n'est pas dur de ce laisser tomber.

Il de ne pas savoir se pardonner, laisser couler, laisser filer

Et si un jour tu rencontre la grande femme araignée,

Demande lui alors pourquoi elle fait ce qui est.

Pourquoi laisse-t-elle ainsi se dérouler la réalitée.

Mais méfie toi de ce qu'elle te demandera de lui retourner

Car sans le vouloir

il n'est pas dur de faire l'inverse de ce que l'on avait espéré

Là tu comprendras que sa réponse est

Qu'il faut d'abord savoir ce que l'on fait et qui on est.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le fruit du labeur nourrit les malheurs,

Ce sont nos erreurs qui font de nous des tueurs.

Que m'arrive-t-il ? Que ce passe-t-il?

Pourquoi ais-je ce regard sur le monde.

Ma vision dépasse les contraintes de l'espace et du temps.

Elle fuit la réalité qui fait que ce monde obsédé,

N'est pas capable de ce regarder en face et de s'accepter.

Je me dois de parler. Je me dois de m'exprimer.

Ce que je ressent, je ne peux le mettre de coté.

Je ne sais ce qui m'emplit de terreurs.

C'est vrai que je supporte mal la douleur.

Mais c'est que de souffrir il n'est pas l'heure.

Je me dois de lutter contre une lueur,

Une de celle dont j'apprécie la couleur.

Il faut que je dépasse ma peur

...

 

 

Terre,

 Je t'apelle comme cela pour ton éclat.

Terre mère, univers,

Tu est celle que l'on contemple au matin,

Celle qui guide notre destin.

Tu es celle qui donne sa couleur bleue au ciel.

Celle qui nous nourrit du bleu de sa mer.

Terre,

C'est à toi de nous guider dans chacunes de nos prières.

Ta voie est plus imposante que celle de nos frères.

 

 

 

J'nen peu plu 2 compter ces histoire dans le noir

De devoir accepter ce broulliard illusoir

pourquoi ce sentiment d'être mené à l'abatoir ?

Dérisoir mais sa mène quand même au gueuloir,

l'envie de crever l'abcés de tout ces bâtards,

c'est le bazar mais ça c'est pas leur problème à eux, ils finiront pas au parloir,

c'est à ce demander ce qu'il peut y avoir dans leurs mémoires,

qu'elle vie ils peuvent mener

sans s'occuper vraiment des problèmes pour lesquels ils sont payé,

c'est vrai ; ce n'est pas parce qu'on à le droit de voter qu'ils ont tout pouvoirs

même celui d'oublier le respect envers les frères avec lesquels ils sont censés cohabiter

où alors fut-il aussi mettre hors de France tout les locksés, perçés, ceux qui veulent être libres dans ce monde !

Car ce n'est pas là où elles le devraient que sont les meilleures idées

et parceque « eux » se disent si bien savoir tous nous diriger

nous ne pouvons que nous taire et les laisser ordonner.

Ils transforment en lois des conseils qui devraient resté avisés

et nous payons le prix des erreurs qu'ils ne veulent pas accepter.

 

Qui est ici sur terre pour jouir du malheur de son voisin ? Les souffrances, les pleurs, les douleurs, les peines, les rages, qui s'autorise l'horreur dans ce monde ? Comment peut-on ne pas ressentir la honte au fond de soit ?

L'empathie nous fait ressentir la souffrance d'autrui.

 

 

Ici, là bas, le temps passe et déroule ses images,

tous nous partageons le même espace, le même infini, le même univers,

mais le savoir n'est pas universel et plus que nos enfants, c'est notre planète qui meure.

Qu'est-ce qui nous permet, qu'est-ce qui nous y pousse ?

Nous savons pertinemment que nous sommes mauvais,

c'est la seule raison qui peux nous pousser à nous détruire de la sorte.

La vie suis son court et nous mène inlassablement vers notre destin quel qu'en soit le chemin.

Une route destinée dans l'obscure étouffement de la vie, dans l'avènement de l'aire de sa perdition.

C'est n'importe quoi, et venu d'ailleurs tous peuvent nous le dire.

Perdu dans l'univers nous tournons sans fin et rien ne nous montre vraiment où l'on va .

On a une destination, elle est dans nos rêves car la fin de la vie est normalement la mort.

Incertaine terrifiante, elle nous épouvante de la douleur qui l'accompagne.

Si vous saviez, vous pourriez me dire, mais qui peux réellement savoir ?

On est enchaîné au destin, mais la vie est elle la chaîne, ou seulement maillon ?

 

 

 

 

 



26/06/2015

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