Hausses les épaules et tais-toi !

multidimensions perverses futiles tyraniques

habilent sans comprendre

à s'y m'éprendre

ne cherches pas à comprendre,
tu ne vas pa m'apprendre,

à me contenir.
Je ne sais si je peux te soutenir,

tes actions fracassent l'ignorance,
mais c'est à rien ni comprendre que tu espères.

 

 


Rares et chers sont les morceaux de l'univers et ceux de ma tête trainent par
terre !


Si tu crois non seulement en toi-même alors saches que la différence est bien
semblablement luxurieuse.
Les divagations sont distinctes et c'est sans celle-ci que nous continuons
sans peine.
A te croire,

il ne faut pas te croire,

que tu te parles à toi qui t'adresse à toi même,

ne dérobe pas le fait que tu penses,
mais dans ton regard, on ne voit que le semblant des problèmes.
Immense et intense, en perditions.
Indistinction, incompréhension, fuite.
Si cela ne ce termine alors ça fait un huit.
Séduisante symbolique, dimension rebelle.
Eblouit, aveuglé, les yeux brulés, comparaissant compatissant,
Une perception perfection, illuminé !
Grace habile, lueurs lumières,
un coucher de soleil ce soir,
dans peu de temps il fait noir.
Comme un tableau
une image,
sidérante, enivrante,
nous épouvante, de notre admiration,
si ce n'est l'extase, ou parle alors d'abération,
d'une beauté fracassante, surdimensions croisant les perceptions.
Je vois et je crois en la passion.
Miraculeuse démonstration

...


Et j'hausse les épaules en guise de compassion.





26/06/2015

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