Habile n'est pas le boeuf.

- " Ce n'est plus la saison il n'y a plus de fleur aux acacias je n'ai plus de quoi me nourrir. "
Dit le rat à une vache.
- " Mange des cacahuètes. "
Lui répond la vache.
- " Non c'est dégoutant".
- " J'en mange bien moi à l'occasion et je n'en bouse pas moins fertile pour les terres, ce n'est pas mauvais ".
- " C'est dégoutant, c'est l'arbre de mes chiottes au trèfle et même si je dors sur ma pisse, je n'en veux pas à mon garde manger ".
- " Manges donc des paquerettes. "
- " Non ce n'est pas de mon goût et puis t'y bouse dessus. "
- " Les racines cela ne tente pas ? Si je pouvais je ne m'en passerais pas. "
- " Non, ce n'est pas cela qui m'intéresse. "

 

La rat futile se met à mordiller un sabot de la vache.
Cette dernière bien que peu sensible s'en trouve étonnée.
- " Mais que fais tu ? "
- " Tu es prête à me renseigner, mais tu n'en parais pas moins appetissante. On est nombreux à l'orée du bois à chercher victuaille. "

 

A l'orée du bois, tapis dans les buissons, sous des fagots, les ragots en vont de bon train.
Sans que ce soit vraiment perceptible, par gémissements, des horreurs sont proférées.
- " Vas y butes le bouffeur de merde !
- " Achèves la cette chiotte qui bouse ! "
- " La faim n'attend pas, ne discutes pas saute lui au museau ! "
- " Cacao paradise ! "

 

A la morale de cette histoire sont un marronier et un chataignier, avec des tétards qui se la coulent douce à l'eau claire d'un ruisseau.

 

La tranquilité des paysages, ne tient qu'à un appétit, celui du soleil sur le monde.

 

 


Il y a plusieurs fins selon un effet de récurrence.

 

Alors que la vache se baissa pour constater que le rat lui mordillait le sabot, il lui pris de se lécher les babines.
Le rat lui mordit la langu et se fit écraser d'un coup net la queue, les yeux lui en sortirent de la tête ;
il décéda sur le coup, avant de se faire d'un autre coup de sabot, réduire la cervelle en bouillie.

 

Habile n'est pas le boeuf, sociable non plus pris au pied de la lettre.

 

D'un autre moment, le rat se mit à consommer les excréments de ses congénères ;
il n'en sortit pas plus vainqueur et décéda de sur dose, dans les trêfles aux abords des buissons de cacahuètes.
Existe bien l'histoire d'un groupe de rats qui s'en prirent à un veau, mort né ;
ils n'en étaient pas pour autant à abattre un boeuf, bien que pourtant en groupes suivant des loups ils en sont capables.

 

 

Cette histoire courte, est peut être bien, un chainon manquant à l'humanité.

Où est celui qui scelle les accords de cultures du cannabis ?

 

Capable d'attaquer un boeuf il peut s'en prendre à l'humanité, le rat peut égorger un porc pour s'abreuver de son sang, dans la vie sauvage.

 

Cette histoire courte, est peut être bien, un chainon manquant à l'humanité.
Où est celui qui scelle les accords de cultures du cannabis ?

 

Capable d'attaquer un boeuf il peut s'en prendre à l'humanité, le rat peut égorger un porc pour s'abreuver de son sang, dans la vie sauvage.

 

Domestiqué il est docile, il ne tient pas comme le furet rôle d'un chien de chasse :
et de sa patte arrière il ressemble à l'aube du chanvre.

 

 

 

Aux héritages des civilisations passées ; l'histoire qui ressemble à celle ci, peut porter le titre " L'Aube du Chanvre " ; au nom du rat.

C'est effectivement une blague qui peut se résumer en 1§ C'est un rat qui rencontre une vache et qui lui dit ;
- " J'ai rien à manger il n'y a plus de fleurs, t'es bien appétissante.
" Et qui se fait écraser d'un coup net. Le rat se nommait ainsi.



24/05/2017

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